Un nouvel outil d’aide au repérage des violences faites aux femmes est oublié par la HAS
Construit comme une échelle décisionnelle, elle permet au professionnel·le·s de santé de réaliser un premier repérage à l’instar des antécédents médicaux ou de la consommation de tabac.
Un seul but : renforcer l’implication de tous
dans la lutte contre les violences faites aux femmes
Il est rappellé que le repérage systématique et précoce est nécessaire même en l’absence de signe d’alerte. En effet, les faits de violences s’aggravent et s’accélèrent avec le temps et concernent tous les âges de la vie et tous les milieux sociaux et culturels.
À qui s’adresse cette recommandation ?
Tous les professionnels de santé sont concernés dans leur pratique.
La Haute Autorité de Santé mentionne les professionnels de santé intervenants en première ligne et en prévention, comme les médecins généralistes, les médecins de PMI et référents en protection de l’enfance, sage-femme, conseillères conjugales, infimier, puériculteur.rice, travailleurs sociaux….
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En outre le film Anna support de formation illustre bien ce cas de figure qui pourra être transposé à d’autres professions de premier recours.
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